
vendredi 29 mai 2009
Google : migration des bêtas en versions finales ?

Bing : un moteur de "décision" signé Microsoft

Orange condamné pour le mot de passe "sale arabe"

AOL va quitter le groupe TimeWarner

Médiamétrie : 29 millions d'internautes en France

OGG, Mozilla... Dailymotion fait le choix du logiciel libre

Symantec : 90,4% des emails reçus sont du spam

Pour lire la suite de l'article, aller sur http://www.neteco.com/278778-symantec-90-emails-spam.html
NKM ouvre l'appel à projet de 30 M€ pour les jeunes pousses hexagonales

3G : Bolloré dit non à Numéricâble et Virgin

mercredi 27 mai 2009
Google confirme sa suprématie en France

YouTube se met à son tour aux publicités pre-roll

La justice accorde à The Pirate Bay le droit à une défense

Mais le tribunal d'instance n'a pas estimé que l'urgence était telle qu'elle exigeait que The Pirate Bay soit privé du droit de se défendre. La juge Caroline Hindmarsh, a ainsi fait savoir qu'il n'y avait pas urgence à statuer, et que "en général vous avez le droit de faire entendre votre point de vue avant qu'une demande comme celle-ci soit accordée".
Sun prépare une place de marché pour applications Java
Sur son blog, le PDG, Jonathan Schwartz, voit les choses en grand. Il veut capitaliser sur la très grande pénétration dont jouit auprès du grand public la plate-forme Java, qui se trouve installée sur de très nombreux équipements informatiques. Il pense pouvoir s'appuyer pour cette boutique en ligne – qui s'appellera sans doute « Java Store » – sur une audience de l'ordre du milliard d'utilisateurs, contre plusieurs dizaines de millions pour les autres « App Store ». « Notre plate-forme permet de toucher plus de consommateurs que n'importe quel autre produit dans le monde », souligne-t-il.
Les écrivains s'interrogent sur le livre électronique

Levées de fonds pour Streamezzo, MXP4, OLX, Rhapso et Connecteo

Spécialiste des petites annonces, le site franco-américain OLX.com, concurrent de Craigslist, vient par exemple de lever 5 millions de dollars auprès de Nexus India Capital, portant le total des fonds levés à plus de 28 millions de dollars depuis sa création. "Ce nouvel investissement va nous permettre de poursuivre notre croissance grâce à la combinaison d'améliorations techniques, d'un développement international, d'acquisitions et d'un marketing plus agressif" explique Fabrice Grinda, fondateur d'OLX et ancien dirigeant d'Aucland et Zingy.
Amendement Lefebvre : télétravailler, c'est bon pour la santé?

Des abonnés de Deezer cibles d'une escroquerie
Ce spam, qui emprunte aux techniques du phishing (« hameçonnage »), demande à ses destinataires de renvoyer leur adresse de livraison ainsi que des numéros de confirmation qu'ils devront auparavant récupérer en appellant un service téléphonique… surtaxé. A l'heure où nous écrivons ce papier, ce numéro de téléphone en 0899 ne répond plus.
Weborama lance son adserver à l'assaut des éditeurs

Dette : le sort de Thomson sera fixé le 16 juin 2009

Red Hat dénonce le monopole de Microsoft en Suisse

It’s official: Facebook raises $200M from Russian investor

Russian investor Digital Sky Technologies is putting in $200 million for 1.96 percent of the company, at a $10 billion valuation.
DST is also planning to purchase up to $100 million in current and former employee stock, the details of which will Facebook will announce this summer, more or less confirming what we heard two weeks ago.
Bruxelles : une offensive contre l'industrie musicale

2010 : Nice se lance dans le paiement sans contact

JO : Atos reprend le flambeau

Pour ces évènements, Atos intègre, gère et sécurise un système informatique qui permet, selon le groupe, de « relayer les informations en moins de 0,3 seconde aux médias du monde entier ». Un système « unique », insiste le groupe, « en ce qu'il y a de plus extrême dans le domaine des systèmes d'information et de la sécurité des données, dans un contexte de budgets très serrés ». Une infrastructure sans laquelle les « Jeux Olympiques ne pourraient avoir lieu », a précisé Jacques Rogge, le président du CIO.
mercredi 20 mai 2009
Pressentie depuis plusieurs semaines, l'entrée officielle de Facebook au sein de l'OpenID, témoigne du succès de l'alliance chargée d'encadrer le déve

Dans le cas présent, les utilisateurs du réseau social vont pouvoir lier leur compte avec d'autres sites ayant adopté le standard, dont Gmail de Google. Ainsi, lorsque l'internaute s'identifie depuis son compte de messagerie Gmail, cette unique identification doit lui permettre, s'il le souhaite, de surfer en parallèle sur Facebook. C'est un progrès. Jusqu'ici, les ténors du Net préféraient fournir des OpenID avant d'accepter les OpenID d'autres sites membres de l'alliance.
Microsoft lancerait Kumo dès la semaine prochaine
Crise : des informaticiens séduits par le côté obscur?


Twitter : Stone reste de marbre face à la pub

Nuxeo lance EP 5.2, la gestion de contenu open source

Apple : léger recul des ventes de Mac et d’iPod sur le marché américain en avril
Comme l'avaient anticipé les analystes, le mois d'avril a confirmé une baisse des ventes pour Apple, en ce qui concerne le marché américain.
Le cabinet d'analyse NPD montre notamment que pour la première fois l'iPod n'a pas tiré les chiffres vers le haut comme ce fut lors des deux derniers trimestres. Les ventes du baladeur ont diminué de 9%. Une des explications vient de l'iPod Shuffle qui réalise toujours des volumes importants mais qui a contribué à faire baisser le prix moyen de la famille iPod.
Côté Mac, les chiffres sont quasiment stables en comparaison avec avril 2008. Dans le détail, les ventes de Macbook baissent de 3,5% tandis que celle d'iMac et consorts ont augmenté de 11% grâce au récent renouvellement de gamme.
Au final, les marchés ont plutôt bien réagi à ces annonces, considérant qu'Apple traverse correctement cette période de crise économique.(Eureka Presse)
HP et Microsoft signent un accord d'interopérabilité

Ann Livermore, vice-président du département des solutions technologiques chez HP affirme que ce partenariat Frontline permettra aux « clients de diminuer leurs coûts et d'augmenter la productivité de leurs employés ».
Nouveau tour de table pour Mixcommerce : 5,5 millions d'euros

Google AdWords supprime les restrictions à l'utilisation des marques déposées aux USA

Grenelle des ondes : les antennes-relais restent un sujet sensible
Selon un document de travail que l'AFP s'est procuré, l'essentiel des travaux porte sur une plus grande transparence et un nouvel élan de recherche sur les radio-fréquences. Mais, en l'état actuel, une baisse des seuils d'exposition aux antennes-relais n'est pas préconisée.
Dans un communiqué de presse en date du 19 mai, Priartem et Agir pour l'environnement précisent que ce document exprime "assez fidèlement les avancées" obtenues au cours des discussions multi-partites.
IIS : une faille de sécurité touche le serveur Web de Microsoft

2012 : cinq fois plus de données numériques

Hadopi : le Conseil constitutionnel saisi
C'était annoncé, c'est fait : la loi Hadopi est désormais entre les mains des neuf sages du Conseil constiutionnel. Les députés socialistes ont déposé mardi leurs recours contre cette loi très contestée, qui institue la «riposte graduée» pour les internautes en cas de téléchargement illégal.
Votée le 13 mai, la loi Création et Internet instaure un système administratif d'avertissements et de sanctions pour les internautes qui récupéreraient des fichiers piratés via des logiciels ou des sites de téléchargement : un mail d'avertissement, puis un second accompagné d'une lettre recommandée en cas de récidive dans un délai de deux ans après le premier, puis enfin une coupure de connexion internet pouvant aller d'un mois à un an, sans possibilité de reprendre un autre abonnement.
Pour les députés socialistes, cette sanction est «manifestement disproportionnée» et double : en plus du préjudice causé par la suspension d'accès internet, le fautif devra continuer de payer son abonnement.
Ce n'est pas le seul grief soulevé par l'opposition, qui a retenu «onze points d'inconstitutionnalité d'importance variable». Outre les deux précédents, les députés PS ont ainsi relevé «les compétences et les pouvoirs exorbitants reconnus à l'Hadopi», »qui induisent l'arbitraire», selon Patrick Bloche.
vendredi 15 mai 2009
Etude : alerte sur la consommation des gadgets électroniques

Seagate supprime 1100 emplois supplémentaires

De combien de cores avez vous besoin ?
Mais tous ceux qui assimilaient la course aux MHz comme étant la manière la plus simple d’améliorer les performances en on été quittes pour un retour de bâton : d’un point de vue physique pour commencer, puisque l’augmentation de la fréquence ne se fait pas sans une hausse exponentielle du dégagement thermique, mais aussi compte tenu des nombreux défis à relever, comme par exemple la maitrise des process de fabrication. Ceci explique pourquoi les processeurs disponibles dans le commerce stagnent entre 3 et 4 GHz depuis 2002 et le Pentium 4 3.06 GHz HT.
Bien entendu, le progrès ne peut s’arrêter lorsqu’il y a des profits à faire. Compte tenu de la demande pour des ordinateurs plus puissants, les ingénieurs se sont donc attachés à améliorer les performances en privilégiant l’efficacité plutôt que la seule fréquence. Le parallélisme s’est ainsi présenté comme une solution : si la fréquence ne peut être augmentée, pourquoi ne pas additionner les ressources de calcul ?
Le parallélisme a cependant un inconvénient dans la mesure où les logiciels doivent être développés pour : le retour sur investissement n’est pas immédiat comme c’est le cas avec l'augmentation de fréquence ou de la taille du cache. Les premiers processeurs dual core qui ont vu le jour en 2005 n’offraient pas de véritables gains de performance (hormis pour l'amateur de 3DSMax), puisque très peu de logiciels étaient alors en mesure d’en tirer parti. Pire encore, la plupart de ces processeurs étaient à la traîne derrière les CPU monocore dans la majorité des applications, puisque ces derniers avaient une fréquence plus élevée.
Toutefois, ce constat a quatre ans et la situation a bien évolué depuis. De nombreux développeurs se sont attelés à optimiser leurs programmes pour les CPU multi-cores ; les processeurs monocores sont difficiles à trouver puisque la tendance est à deux, trois ou quatre cores à présent.
Un processeur tri-core est-il suffisant pour jouer ou bien faut-il craquer pour un quad core ? L’utilisateur moyen peut-il se contenter d’un dual core ou bien gagne-t-il à faire un autre choix ? Quelles applications sont optimisées pour les CPU multicores et quelles sont celles qui réagissent seulement à la fréquence et à la taille de la mémoire cache ?
IBM La Gaude ouvre son espace santé

Cloud computing : les entreprises doivent mieux mesurer les enjeux liés à la sécurité
Les entreprises abordent le virage de l'"informatique en nuage" sans amorcer une véritable réflexion sur la sécurisation de leurs données en ligne, leur conformité, ou sur les problèmes liés à la protection de la propriété intellectuelle. Le rapport de Forrester souligne que les organisations intéressées par ce type de fonctionnement doivent, en premier lieu, bien analyser tous les enjeux liés à la sécurité dans le cloud computing.
"Même si le cloud computing peut apporter de nombreux avantages aux entreprises, celles-ci ne doivent pas sauter dans ce train sans un cahier des charges précis et une compréhension claire de ce que requiert ce type de technologie en matière de sécurisation des données privées", suggère Chenxi Wang, analyste pour Forrester Research. Et d'ajouter : "Les utilisateurs de services en mode cloud ne devraient pas automatiquement faire confiance aux hébergeurs et aux fournisseurs de ce type d'infrastructures sur le Net en matière de sécurité".
Evaluer les compétences de son fournisseur en matière de sécurisation des données
L'étude recommande aux organisations de mettre au point un rapport complet et légal concernant les règles de gouvernance pour leurs données et leurs évolutions possibles à l'extérieur de l'entreprise avant de souscrire à des offres de cloud computing.
Les fournisseurs de ces types de service ont également besoin d'examiner attentivement de quelles façons ils se proposent de garantir la sécurisation des données de leurs clients. Cela devrait non seulement concerner l'emplacement même de ces données, mais aussi le chiffrement des données stockées et comment celles-ci sont protégées contre toute forme d'intrusion. Le rapport suggère également que les entreprises prêtes à se lancer dans l'aventure du cloud computing devraient demander l'avis d'un tiers pour évaluer les procédures de sécurité mises au point par un fournisseur, à l'image des services offerts par Hyperic ou Hewlett-Packard.
"A cette fin, nous avons besoin d'une industrie basée sur des standards ouverts et de plus d'interopérabilité", précise Chenxi Wang. "Une approche basée sur des normes définies devrait permettre aux fournisseurs d'apporter de la flexibilité, de l'agilité et des offres de cloud computing étendues à la collaboration. Ce serait aussi plus facile pour les clients d'évaluer la valeur d'un fournisseur et d'avoir une confiance totale quant au processus de sécurisation des données mis en place".
Espagne : des portables gratuits pour les écoliers

En Suède, The Pirate Bay ne baisse pas pavillon
Ce juge, qui a condamné mi-avril les quatre accusés à un an de prison ferme et 2,7 millions d’euros d’amendes, se trouve être membre de diverses organisations fortement engagées dans la lutte contre le piratage. Dès l’annonce, le 23 avril, par une radio suédoise, de ces accointances peu recommandables entre un représentant de la justice et les parties plaignantes de l’affaire, l’annulation du procès est devenue une possibilité pour les trois responsables de The Pirate Bay, Gottfrid Svartholm, Peter Sunde, Frederik Neij, et leur investisseur Carl Lundström. Pour l’avocat de Peter Sunde, Peter Althin, qui compte bien faire appel du jugement, « la priorité de la cour est de déterminer si le juge s’est bien trouvé en situation de conflit d’intérêts ». Il a confié au site Cnet News son souhait de voir un nouveau procès se tenir prochainement à Stockholm.
Un souhait qui paraît de plus en plus réalisable puisque les liens du juge Norström avec l’industrie culturelle semblent encore plus étendus que prévus. Par le jeu d’adhésion automatique entre plusieurs organisations internationales, notre bon juge est ainsi membre de l’Aippi (Association internationale pour la protection de la propriété intellectuelle), basée à Zurich, et de l’Alai (Association littéraire et artistique internationale), fondée à Paris par Victor Hugo en 1878. Oui, ce même vieux barbu qui osa un jour écrire : « Au fond, Dieu veut que l’homme désobéisse. Désobéir, c’est chercher. »
Cherchant à minimiser son action dans ces lobbys antipiratage, le juge n’a pas trouvé meilleure défense que de plaider la bonne foi : « Partager ses connaissances du monde juridique est une chose, faire la promotion d’idées en est une autre. » Une déclaration qui n’a pas convaincu la défense des pirates, dont les soutiens se mobilisent. Les accusés ont pourtant refusé toute aide financière extérieure pour régler leurs amendes (qu’ils n’entendent d’ailleurs pas payer), encourageant plutôt leurs admirateurs à acheter leurs t-shirts via PirateBay.org, mais ils ne sont pas pour autant à court d’idées.
Sur le site Internet-avgift (taxe Internet, en français), ils encouragent à verser de petites sommes d’argent au cabinet d’avocat des parties adverses. Si les internautes se mobilisent et envoient leur micro-dons en masse, le cabinet, de taille modeste, croulera sous les procédures pour gérer les versements, et perdra même de l’argent au vu des frais bancaires… Diabolique, non ? Pendant ce temps, le Parti Pirate suédois a enregistré une augmentation record des adhésions, à quelques semaines des élections européennes.
Paru dans Libération du 13 mai 2009
Infographie : Intel investit 12 M$ dans un labo européen

Le Wi-Fi bientôt débranché dans les bibliothèques de Paris-III Sorbonne
Ce n'est pas la première fois que le personnel des bibliothèques parisiennes demande la suspension du Wi-Fi. En mai 2008, la bibliothèque Sainte-Geneviève obtenait un moratoire sur l'utilisation du réseau sans fil. Mais, en juin 2008, l'université demandait le rebranchement des bornes Wi-Fi, avant d'accepter d'installer, début 2009, un réseau filaire en complément du Wi-Fi. En avril 2008, la Bibliothèque nationale de France renonçait, elle, à implanter un réseau Wi-Fi dans ses locaux, officiellement pour des raisons techniques. Selon la FSU, la décision relevait plutôt du principe de précaution face aux risques pour la santé du rayonnement électromagnétique.